Films

•• Cette semaine sur Tënk

Vivre : c’est l’ambition de Erik, dans Le Recours aux forêts. Le portrait d’un homme qui, se sachant malade, choisit le recul d’une cabane dans les bois. Et des gestes essentiels, pour se remettre dans l’esprit et dans le corps cette idée que pour survivre il faut savoir, par exemple, faire un feu. Pour survivre sans réseau téléphonique, s’entend. Il est question d’attention : à son propre corps, et à tout ce qui l’entoure, dont il fait partie. Filmé avec une grande délicatesse, Erik cherche la sérénité, comme une sorte d’acceptation finale, quelque chose d’une réconciliation. Et la forêt est pour cela sa complice.

•• Cette semaine sur Tënk

Le nombril de Samia Gamal

•• Cette semaine sur Tënk – Strange Fruit

Southern trees bear a strange fruit / Blood on the leaves and blood at the root / Black bodies swingin’ in the Southern breeze / Strange fruit hangin’ from the poplar trees

•• Cette semaine sur Tënk

« Notre code génétique en Afrique nous rend forts. Nous sommes résistants. Maintenant il faut qu’on ajoute l’intelligence. »

•• Cette semaine sur Tënk

Vous l’avez raté lors de sa sortie en salle ? Vous voulez le revoir ? Le re-revoir ? Aujourd’hui s’ouvre un nouveau rendez-vous sur Tënk : la plage 7e séance, qui chaque semaine accueillera un documentaire sorti sur les grands écrans des salles de cinéma (qui ont rouvert, d’ailleurs, vous saviez ?).

•• Cette semaine sur Tënk – Escale photographie

Charles Baudelaire était quelque peu méfiant

•• Cette semaine sur Tënk

Le bon et le mauvais gouvernement

•• Cette semaine sur Tënk

« Chaque être humain est à la fois dans une certaine dimension individuelle et à la fois dans une autre dimension. Il comprend son milieu est c’est le dialogue entre les deux dimensions qui est l’être humain complet. Donc c’est ça que nous devons cultiver. »

•• Cette semaine sur Tënk – Un air de fête

Notre Escale Un air de fête : ordre et désordres, descend dans la rue et se fraie un chemin dans la foule. C’est une Escale absolument pas distanciée. Parce que ça nous a manqué et qu’on en a besoin, tout simplement. Le contact avec les autres, d’un peu plus près qu’autorisé, d’un peu plus près que raisonnable… Un air de fête ? Assurément.

•• Cette semaine sur Tënk

Nos vies sont des feuilletons, qu’elles soient faites de rebondissements permanents ou de quotidien rodé. Nous avons tous quelque part un exil, une séparation, un déchirement qui nous fait nous tenir là, maintenant…

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