programmation spéciale

Contrôler, juger, punir : l’imaginaire de la justice se réduit souvent aux commissariats, aux tribunaux ou aux prisons. Mais il y a bien plus que cela. Bien plus que le spectaculaire des enquêtes, le sensationnel des drames et des condamnations. Il y a que la justice nous appartient et qu’elle façonne notre vie de tous les jours, jusqu’au plus intime.

Le direct est un coup de poing dans l’axe, donné le plus souvent à longue distance. 
Il arrive également qu’on désigne par direct une forme de cinéma apparue au tournant des années 50-60, en particulier au Québec.

Ah non, ça c’est sûr, la réalité n’est pas bien rose. Pas toute noire non plus, mais enfin, il est rare que les échos de notre monde prêtent à sourire… 

Alors le documentaire, pensez-vous ! Peu de chances qu’on se tape sur les cuisses ! Toute la production de films documentaires : condamnée à l’austérité !

No future ou Now future ? Réchauffement climatique, extinction des espèces, contamination radioactive : en partenariat avec CorsicaDoc et Documentaire sur grand écran, nous vous proposons une Escale de 6 films qui interrogent ces enjeux actuels.

eXplorations eXplicites : nous vous proposons cette semaine une programmation sexuelle et explicite ! Huit films qui se déclinent en quatre temps, plusieurs continents, différents genres, et se répondent en miroir.
Une Escale portée par Anastasia Rachman, co-fondatrice, coordinatrice et programmatrice du Festival du Film de Fesses et Lysa Heurtier Manzanares, réalisatrice et programmatrice à Tënk.

« Prendre la parole ! Lutter ! Filmer ! » disent-elles. À l’invitation de Tënk, la revue Panthère programme six films pour une Escale qui vous déplace à travers l’inventivité des cinémas féministes. Les 6 films de notre Escale vous déplacent à travers l’inventivité des cinémas féministes.

Pourquoi grimper ? La face B des sommets… Regardez les six films documentaires de notre Escale dédiée à la montagne.

Dans quelques mois, en mars 2019, huit ans de guerre auront passé. Depuis le printemps 2011, le tribut à payer pour la Syrie est lourd : 500 000 morts, 5 à 6 millions d’exilés, au nom d’une guerre civile qui a des allures d’avant-scène de guerre mondiale aux frontières délibérément resserrées.